Lanzarote
En quittant la Graziosa nous sommes ressourcé d’air frais et de balades sur la plage. La navigation le long de la côte ouest de Lanzarote se passe agréablement avec 20kn de vent arrière, très régulier, et assez impressionnant par la côte de roches noir avec d’énormes brisant blancs. Ca nous amène sous le vent de l’île où nous mouillons devant l’entrée de Marina Rubicon, comme si on devait se civiliser un peu avant d’y entrée. C’est un grand complexe touristique, nous ne sommes pas très attiré. Mais le besoin d’une grande lessive nous motive d’y rentrée quand même.
C’est sans surprise, très grand, très cher, très artificiel ;, mais nous sommes accueilli par des voisins de ponton fort sympathique, Daphné et Rainer, un couple d’Allemands un peu plus âgés, sur un bateau très robuste et joli le « Lojan ».
Ils nous font part de leurs découvertes, et comme ils doivent partir le lendemain nous écrivent tout soigneusement sur un papier un guide touristique personnalisé. C’sont eux aussi qui nous apprennent qu’étendre le linge soit interdit. À trente euros la journée, tu parles, on s’en fout, on est venue pour laver le linge.
Mais de toute façon, on préfère repartir au mouillage de la plage de Papagayo qui est qu’à deux milles, et qui est très agréable pour sécher le linge.
Nous retournons tout de même à la marina pour pouvoir laisser le bateau en sécurité et de louer une voiture.
Nous voilà donc en conduisant une voiture, ça fait bizarre, à la découverte de l’île. Île volcanique assez récente, pour avoir des paysages totalement dépourvue de végétation, décor lunaire de coulés de laves noires.
À part ça et le vieux port de Arrécife qui est devenue un mouillages des voileux assez sympas, rien à signaler. Une île sommes toute assez triste.
Nous repartons donc assez vite pour le prochain mouillage, juste en face ; isla de Lobos, à qu’un mille au nord de Fuerteventura.
No Comments »
RSS feed for comments on this post. TrackBack URL