Apr
22
2010
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retour vers l’est

Ça fait presqu’un mois qu’on est à La Restinga, on n’a pas vu passer le temps ; la météo annonce l’approche d’une dépression et avec ça du vent du sud-ouest ; c’est le moment où jamais pour refaire de la route vers l’est.





Nous partons donc comme prévu vers le Maroc, pour y chercher du Gaz. Les bouteilles françaises, changer en bouteille marocaine, ne se font plus remplir ici.

Le temps est parfait pour commencer et force un peu à partir du sud de Gran Canaria.




Nous retournons à Gran Tarajal sur Fuerteventura, comme nous connaissons ce petit port déjà.

L’entrée du port par 30nd de vent arrière avec une mer assez forte est un peu rock’n’roll, mais nous sommes content une fois dedans de se reposer un peu.

Nous visitons tout de même cette île un peu plus, mais il n’y a toujours rien à voir …

Benthencuria, encensé par les guides, n’est qu’un village sympa remplis de touriste du jour.

Seul côté sympa le chauffeur de Guagua nous promène comme un Taxi, s’arrête pour que nous puissions faire des photos, et n’arrête pas de parler jusqu’à Puerto Rosario.








Nous faisons une petite sortie à Giniginamar, mais le temps nous force à retourner au port encore une fois.

Finalement en parlant avec les marins du coin et avec l’équipage du Salvamar nous nous rendons compte que Aioun n’est m^me pas un port d’entrée au Maroc …

Finalement nous préférons éviter des ennuis et décidons de nous débrouiller pour trouver du Gaz ailleurs et de refaire route vers le nord-ouest dès que les Alizés se remettent à souffler.

Entre-temps nous profitons du temps calme pour nous balader le long de la côte est de Fuerteventura.

Donc encore une fois Giniginamar, décidément on l’aime bien, puis les longues plages de la presqu’île de Jandia.









Written by rudi in: Journal |
Apr
05
2010
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semana santa


Je crois qu’elle nous tient cette petit  île tranquille, autant plus que pour continuer d’ici nous devons aller contre les alizés qui se sont bien installés maintenant.

Mais nous sommes bien ici et il y a comme toujours plein de choses à faire sur le bateau.

Nous sommes devenu ami avec la famille du bateau voisin, Yemanja, Ciça, une Brésilienne, Teclo, espagnole de Barcelone et leurs trois garçon Teclo, Kilian et Ranses.

Ils vont à l’école ici pour l’instant.

Comme ça nous sommes parti avec eux faire une excursion dans la montagne de l’arrière pays, au-dessus de El Pinar, la grande pinède, et nous avons dormi une nuit à la belle étoile, par 1000m d’altitude et 4°Celsius.

C’était sympa, mais tellement pas confortable … Je crois que j’ai dépassé l’age …

Bref le lendemain, j’ai autant plus apprécié ma couchette.

Voilà notre groupe de choque, sur une première excursion dans un paysage de lave.

Est-ce une foule couverte de lave?

Des bouches de volcan partout

ça a bien été liquide un jour

au cul du monde


Voilà de retour dans notre petit port

est c’est reparti pour une autre excursion

nous partons avec la Guagua

dit “ouaoua” pour bus en Canarien


dans la fôret

chargé de couvertures et bâches

nos amis s’installent dans une petite baraque

et nous on décide de dormir à la belle étoile

mais d’abord partons à la découverte

de cette fôret

et ces champs fleuris


la fée des bois

la borboleta

le cuisiner


l’apprenti

nous nous chauffons bien

avant d’affronter une nuit à 4°

uff on a survécu

fatigué

mais heureux

c’est le printemps tout de même

Written by rudi in: Journal |

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