Fuerteventura
Cette isla de Lobos fait un abri très agréable avec des fonds de sable blanc une eau claire et une plages bien protégé dans le petit étang. Nous nous amusons à aller à terre avec l’annexe à voiles, puis au retour nous pêchons un peu à la traîne, et surprise un petit poisson après l’autre ; nous connaissons notre menu même si nous ne savons pas ce que c’est comme poisson. Il n’est pas très bon d’ailleurs, plein d’arrête.
Une autre journée de voile au portant tranquille nous amène à Puerto del Rosario, la capitale de l’île où l’on nous fait /se dégager du port pour mouiller dans l’avant-port près d’un ponton rouillé, près pas très accueillant. Mais la ville et ces habitants sont sympas, ici on sent le tourisme à peine.
las playitas
Nous longeons la côte aride de cette île assez pauvre, jolie à voir de loin, mais désertique à l’intérieur.
Après quelques mouillages, nous arrivons à Gran Tarajal, port agrandi récemment, avec pleines de places vides, pas chère (13€) et une ville très sympas au bord de la plage. Pas de touriste, tranquille, hors du temps, on respire.
grand tarajal
Ici nous retrouvons Lojan avec Daphné et Rainer. Un soir, on va danser la salsa ensemble, ils sont trop choux les deux, ils ressortaient s’entraîner dehors de temps en temps, n’osant pas trop se montrer sur la piste de danse, car souffrant du volume un peu excessif de la musique.
Noël approche
C’est ici que nous rencontrons aussi Philippe et Diane, un couple belge sur un Amel, nous sympathisons vite et passons un peu de temps ensemble.
Nous nous trouvons même plus ou moins par hasard à naviguer un bout ensemble, en descendant vers le sud, mais nous nous arrêtons à punta Jandia, encore un de ces mouillages à ne pas rater.
punta jandia
D’ici nous partirons très tôt le matin vers Las Palmas.