Dec
16
2009
0

Fuerteventura

Cette isla de Lobos fait un abri très agréable avec des fonds de sable blanc une eau claire et une plages bien protégé dans le petit étang. Nous nous amusons à aller à terre avec l’annexe à voiles, puis au retour nous pêchons un peu à la traîne, et surprise un petit poisson après l’autre ; nous connaissons notre menu même si nous ne savons pas ce que c’est comme poisson. Il n’est pas très bon d’ailleurs, plein d’arrête.


Une autre journée de voile au portant tranquille nous amène à Puerto del Rosario, la capitale de l’île où l’on nous fait /se dégager du port pour mouiller dans l’avant-port près d’un ponton rouillé, près pas très accueillant. Mais la ville et ces habitants sont sympas, ici on sent le tourisme à peine.


las playitas

Nous longeons la côte aride de cette île assez pauvre, jolie à voir de loin, mais désertique à l’intérieur.
Après quelques mouillages, nous arrivons à Gran Tarajal, port agrandi récemment, avec pleines de places vides, pas chère (13€) et une ville très sympas au bord de la plage. Pas de touriste, tranquille, hors du temps, on respire.

grand tarajal

Ici nous retrouvons Lojan avec Daphné et Rainer. Un soir, on va danser la salsa ensemble, ils sont trop choux les deux, ils ressortaient s’entraîner dehors de temps en temps, n’osant pas trop se montrer sur la piste de danse, car souffrant du volume un peu excessif de la musique.


Noël approche

C’est ici que nous rencontrons aussi Philippe et Diane, un couple belge sur un Amel, nous sympathisons vite et passons un peu de temps ensemble.
Nous nous trouvons même plus ou moins par hasard à naviguer un bout ensemble, en descendant vers le sud, mais nous nous arrêtons à punta Jandia, encore un de ces mouillages à ne pas rater.


punta jandia
D’ici nous partirons très tôt le matin vers Las Palmas.

Written by rudi in: Journal |
Dec
16
2009
0

Lanzarote

En quittant la Graziosa nous sommes ressourcé d’air frais et de balades sur la plage. La navigation le long de la côte ouest de Lanzarote se passe agréablement avec 20kn de vent arrière, très régulier, et assez impressionnant par la côte de roches noir avec d’énormes brisant blancs. Ca nous amène sous le vent de l’île où nous mouillons devant l’entrée de Marina Rubicon, comme si on devait se civiliser un peu avant d’y entrée. C’est un grand complexe touristique, nous ne sommes pas très attiré. Mais le besoin d’une grande lessive nous motive d’y rentrée quand même.

C’est sans surprise, très grand, très cher, très artificiel ;, mais nous sommes accueilli par des voisins de ponton fort sympathique, Daphné et Rainer, un couple d’Allemands un peu plus âgés, sur un bateau très robuste et joli le « Lojan ».
Ils nous font part de leurs découvertes, et comme ils doivent partir le lendemain nous écrivent tout soigneusement sur un papier un guide touristique personnalisé. C’sont eux aussi qui nous apprennent qu’étendre le linge soit interdit. À trente euros la journée, tu parles, on s’en fout, on est venue pour laver le linge.
Mais de toute façon, on préfère repartir au mouillage de la plage de Papagayo qui est qu’à deux milles, et qui est très agréable pour sécher le linge.
Nous retournons tout de même à la marina pour pouvoir laisser le bateau en sécurité et de louer une voiture.

El Golfo




Nous voilà donc en conduisant une voiture, ça fait bizarre, à la découverte de l’île. Île volcanique assez récente, pour avoir des paysages totalement dépourvue de végétation, décor lunaire de coulés de laves noires.
À part ça et le vieux port de Arrécife qui est devenue un mouillages des voileux assez sympas, rien à signaler. Une île sommes toute assez triste.



Nous repartons donc assez vite pour le prochain mouillage, juste en face ; isla de Lobos, à qu’un mille au nord de Fuerteventura.

Written by rudi in: Journal |

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